Ericsson Canada vient d’être reconnue par Forbes comme l'un des cinq meilleurs employeurs au Canada en 2023. L'entreprise s'est classée aux quatrième rang sur un total de 300 organisations de taille importante.
Deloitte Canada dévoilait cette semaine L'usine intelligente @ Montréal, qui abrite un écosystème interconnecté de plus de 20 solutions et technologies de pointe, et dont l'objectif est de métamorphoser la fabrication et l'entreposage grâce à la transformation numérique.
Selon des recherches récentes de Cisco Systems, les consommateurs et les chefs d'entreprise ont des priorités différentes en matière de confidentialité des données.
Poursuivant leur expansion au Canada, Québecor et sa filiale Vidéotron viennent d’investir près de 10 millions de dollars pour l'acquisition de nouvelles licences de spectre au Manitoba dans la bande de 600 MHz et au Québec dans la bande de 3 500 MHz.
Kaleido Croissance inc., un organisme à but non lucratif québécois qui offre des programmes d'épargne-études depuis 1964 aux familles du Québec et du Nouveau-Brunswick, a annoncé à ses clients que, suite à un cyberincident survenu le 18 janvier dernier, elle compensera l'entièreté des sommes volées dans leurs comptes.
Tôt hier matin, les clients du monde entier, à l'exception de ceux de la Chine, ont perdu l'accès à Microsoft Azure, ainsi qu'à des services tels qu'Outlook, Exchange Online et Teams. La société a attribué les problèmes à une mise à jour de son réseau étendu mondial (WAN), qu'elle a annulée.
Cette semaine : Les États-Unis poursuivent Google, Twitter poursuivie pour non-paiement du loyer, des médicaments illimités pour 5 dollars et la fin des ventes de Windows 10.
Selon une nouvelle enquête de Cisco Systems, le nombre croissant d'employés travaillant à distance aujourd'hui est source de cheveux gris pour les responsables de la sécurité de données et les chefs d'entreprise ayant des responsabilités en matière de cybersécurité.
Le Bureau de la concurrence n'a pas réussi à convaincre la Cour d'appel fédérale que la décision du Tribunal de la concurrence en faveur de la fusion Rogers-Shaw était juridiquement erronée ou que cette dernière entraînerait une diminution de la concurrence.