Projet d’acquisition aux États-Unis pour Amaya

Amaya prévoit acheter la totalité des actions du fournisseur Diamond Game Enterprises pour environ 25 M$ US.Logo de Groupe de jeux Amaya

Groupe de jeux Amaya, une entreprise de Montréal qui est spécialisée en matériel et en logiciels qui sont destinés à l’industrie du jeu de hasard, a signé une entente définitive avec l’entreprise américaine Diamond Game Enterprises afin d’acheter la totalité de ses actions qui sont émises et en circulation.

Groupe de jeux Amaya indique qu’elle compte acquérir Diamond Game Enterprises afin d’obtenir notamment une de ses technologies de loterie qui est brevetée. Il s’agit d’une distributrice automatique de billets qui est nommée Tab 3 ou LT-3 et qui sert à la distribution de billets à languettes ou de billets à gratter. Ce produit affiche simultanément le résultat associé au billet sur un écran vidéo tactile.

Amaya souligne qu’un produit fondé sur cette technologie est déjà commercialisé par Diamond Head Enterprises en Ontario et au Maryland et que l’offre dudit produit dans d’autres marchés est prévue à court terme. Amaya a l’intention d’intégrer certaines de ses solutions de jeu à la technologie de Diamond Game Enterprises.

La transaction entre Groupe de jeux Amaya et Diamond Game Enterprises est évaluée à environ 25 millions de dollars américains. Le montant servira à l’acquisition de l’entreprise américaine et au règlement de son passif.

La transaction, qui nécessitera des approbations de la part d’organismes réglementaires, devrait être conclue au dernier trimestre de 2013. Entre-temps, Groupe de jeux Amaya mettra ses facilités de crédit d’une valeur maximale de 2,5 millions de dollars à la disposition de Diamond Game Enterprises.

Diamond Game Enterprises, dont les bureaux sont situés à Los Angeles, commercialise ses produits dans des casinos destinés aux autochtones aux États-Unis, dans les casinos commerciaux, les hippodromes, les salles de bingo et les sites de jeux de hasard publics.

Jean-François Ferland
Jean-François Ferland
Jean-François Ferland a occupé les fonctions de journaliste, d'adjoint au rédacteur en chef et de rédacteur en chef au magazine Direction informatique.

Articles connexes

De nombreux partenaires VMware stupéfaits à la réception d’un « avis de résiliation » de Broadcom

Un « avis de résiliation » envoyé aux partenaires de distribution VMware par Broadcom le 22 décembre, alors qu'ils se préparaient à quitter le bureau pour les vacances, n'a pas permis à beaucoup de personnes de ressentir la chaleur de la saison, a déclaré Jason Van der Schyff, le directeur opérationnel du fournisseur d'infrastructure infonuagique privé Softiron.

Adoption du projet de loi no 38 sur la cybersécurité et la transformation numérique de l’administration publique

Le projet de loi no 38, connu sous le nom de Loi modifiant la Loi sur la gouvernance et la gestion des ressources informationnelles des organismes publics et des entreprises du gouvernement et d'autres dispositions législatives, a été adopté plus tôt cette semaine par l'Assemblée nationale.

L’acquisition de VMware par Broadcom est désormais officielle, et GlobalData émet un avertissement

Le temps qu'il a fallu pour que l'achat de VMware par Broadcom pour 69 milliards de dollars soit finalement approuvé a potentiellement affecté la position et la valeur de l'action de VMware dans le secteur de la cybersécurité, selon la société de données et d'analyse GlobalData.

Investissements majeurs de 500 M$US de Microsoft au Québec

Au cours des deux prochaines années, Microsoft investira 500 millions de dollars américains dans l'expansion de son infrastructure infonuagique et d'intelligence artificielle à grande échelle au Québec.

Balado Hashtag Tendances, 23 novembre 2023 — Crise chez OpenAI, des puces Microsoft et investissements majeurs au Québec pour Microsoft

Cette semaine : Grave crise à la tête d’OpenAI, Microsoft conçoit ses propres processeurs et investissements de 500 M$ de Microsoft au Québec.

Emplois en vedette

Les offres d'emplois proviennent directement des employeurs actifs. Les détails de certaines offres peuvent être soit en français, en anglais ou bilinguqes.