Hausse du bénéfice net trimestriel chez Astral

Logo d'Astral
(Logo : Astral)

Astral, une entreprise de Montréal qui produit du contenu sur diverses plateformes – dont le Web où elle compte une centaine de sites Internet qui sont liés à ses chaînes de télé et de radio – rapporte des revenus trimestriels qui sont inférieurs de 0,9 % ou 2,5 millions de dollars aux revenus de 268 millions de dollars qui avaient été produits lors du troisième trimestre de son année financière 2012.

Le trimestre financier d’Astral, qui a pris fin le 31 mai 2012, a été marqué par l’annonce de l’acquisition de l’entreprise par le conglomérat des télécommunications BCE dans une transaction qui est évaluée à 3,38 milliards de dollars. La transaction a été approuvée par la Cour supérieure du Québec à la fin de mai dernier.

Les frais d’exploitation trimestriels de 176,3 millions de dollars d’Astral sont inférieurs de 3,7 millions de dollars aux frais qui avaient été rapportés douze mois plus tôt. L’entreprise a consacré 6,2 millions de dollars aux coûts de la transaction avec BCE durant le trimestre. Astral a versé 0,55 million de dollars pour couvrir des coûts d’acquisition et d’autres dépenses.

Une diminution des impôts sur le bénéfice ont contribué à la production d’un bénéfice net trimestriel de 51,1 millions de dollars, soit 3,3 % ou 1,6 million de dollars de plus que le bénéfice net de 49,5 millions de dollars qui avait été rapporté pour le troisième trimestre de son année financière 2011.

Bilan de neuf mois

Pour les trois premiers trimestres de son année financière 2012, Astral rapporte des revenus de 770,1 millions de dollars, soit 0,3 % ou 2,3 millions de dollars de plus que les revenus de 767,8 millions de dollars qui avaient été rapportés pour les neuf premiers mois de l’année financière 2011 de l’entreprise.

Le bénéfice net cumulatif de 141,9 millions de dollars est supérieur de 3,3 % ou 4,6 millions de dollars au bénéfice net cumulatif de 137,2 millions de dollars qui avait été obtenu au terme des trois premiers trimestres de l’année financière 2011 de l’entreprise.

Jean-François Ferland
Jean-François Ferland
Jean-François Ferland a occupé les fonctions de journaliste, d'adjoint au rédacteur en chef et de rédacteur en chef au magazine Direction informatique.

Articles connexes

Adoption du projet de loi no 38 sur la cybersécurité et la transformation numérique de l’administration publique

Le projet de loi no 38, connu sous le nom de Loi modifiant la Loi sur la gouvernance et la gestion des ressources informationnelles des organismes publics et des entreprises du gouvernement et d'autres dispositions législatives, a été adopté plus tôt cette semaine par l'Assemblée nationale.

Investissements majeurs de 500 M$US de Microsoft au Québec

Au cours des deux prochaines années, Microsoft investira 500 millions de dollars américains dans l'expansion de son infrastructure infonuagique et d'intelligence artificielle à grande échelle au Québec.

Balado Hashtag Tendances, 23 novembre 2023 — Crise chez OpenAI, des puces Microsoft et investissements majeurs au Québec pour Microsoft

Cette semaine : Grave crise à la tête d’OpenAI, Microsoft conçoit ses propres processeurs et investissements de 500 M$ de Microsoft au Québec.

Consultation publique sur la cybersécurité

Le ministère de la Cybersécurité et du Numérique lance cette semaine une consultation publique sur la cybersécurité. Celle-ci permettra au gouvernement du Québec de solliciter un grand nombre d'intervenants ainsi que la population générale sur les enjeux et les besoins en cybersécurité.

Plus de six PME québécoises sur dix touchées par la cybercriminalité au cours de la dernière année

Un nouveau sondage mené par KPMG au Canada le mois dernier révèle que plus de six PME sur dix au Québec ont été attaquées par des cybercriminels au cours de la dernière année, et près des trois quarts d'entre elles affirment que leurs anciens systèmes d'information et de technologie opérationnelle les rendent vulnérables aux attaques.

Emplois en vedette

Les offres d'emplois proviennent directement des employeurs actifs. Les détails de certaines offres peuvent être soit en français, en anglais ou bilinguqes.