Une recherche produite par Microsoft Canada révèle un écart entre ce que les dirigeants d'entreprises disent être bon pour les affaires et leurs actions.
Après les rançongiciels à la demande et les attaques par rançongiciels à travers les chaînes d'approvisionnement, des groupes qui y ont recours ont désormais une nouvelle tactique : faire payer avant de lancer une attaque.
Les responsables informatiques dans les institutions financières doivent faire équipe avec leurs responsables de la conformité réglementaire pour aider à mettre fin à la traite des personnes, affirme un Canadien qui vient d'être récompensé pour son travail visant à mettre fin à cette forme d'exploitation.
Selon un sondage, un peu plus de la moitié des organisations du Canada qui ont été ciblées avec des rançongiciels ou des logiciels malveillants et qui ont répondu au sondage ont payé les sommes exigées par les cybercriminels.
Des organisations sont aidées par des chercheurs à comprendre comment des connaissances et des technologies de cybersécurité déjà existantes peuvent être utilisées pour se défendre contre des risques informatiques.
Gartner prédit que 25 % des gens passeront une heure par jour dans le métavers d’ici 2026 pour travailler, magasiner, étudier, socialiser ou se divertir.
Parmi les dirigeants d’entreprises qui ont répondu au sondage annuel effectué par Léger pour Novipro, 40 % prévoient fournir à leurs équipes de la formation en matière de risques informatiques.
Message aux entreprises dans le cadre de la Journée de la protection des données : ne vous contentez pas d'écrire des politiques de confidentialité, faites-les respecter.