Cette semaine : Une percée quantique pour Google, un robot conversationnel pour Microsoft, un modèle de langage pour Meta, un nouveau PDG pour Twitter et un casque de réalité augmentée pour trouver des objets cachés.
Le Comité du patrimoine de la Chambre des communes a accepté hier de convoquer des dirigeants de Google pour témoigner lors d'une réunion de deux heures le lundi 6 mars concernant la censure du contenu des nouvelles par Google au Canada.
Equisoft, un fournisseur montréalais de solutions numériques pour le secteur financier, vient de clore une ronde de financement de 125 millions de dollars en équité. De cette somme, 70 millions sont de nouveaux fonds provenant d'Investissement Québec et du gouvernement du Québec. Le reste provient de deux partenaires de longue date, Exportation et développement Canada (EDC) et Fondaction.
La requête de TekSavvy au CRTC pour régler les problèmes de favoritisme indu découlant des accords hors tarifs (AHT) a soulevé un tollé, avec des interventions affluant de sympathisants et de critiques.
Le gouvernement du Canada a annoncé hier un investissement de 48,3 millions de dollars canadiens dans le cadre du Programme de solutions sectorielles en main-d'œuvre, pour former les travailleurs du secteur des technologies de l'information et des communications (TIC).
Les employés fédéraux se sont fait interdire d'utiliser l'application chinoise TikTok sur les appareils informatiques émis par le gouvernement canadien.
Des chercheurs de l’Université de Sherbrooke enquêtent sur deux des plus grandes préoccupations du pays en matière de cybersécurité : la capacité des services publics d'électricité à faire face aux cyberattaques et la sécurité des appareils industriels sans fil connectés à Internet.
Une nouvelle étude de Juniper Research révèle que le nombre d’applications d’identité numérique en usage dans le monde dépassera 4,1 milliards d’ici 2027, par rapport à 2,3 milliards en 2023. Il s’agit d’une augmentation de 82 % en quatre ans.
Quelqu'un sur un forum criminel vend ce qu'il prétend être des données sur tous les employés de Telus, ainsi que les référentiels de codes logiciels GitHub de la société canadienne de télécommunications.
Le gouvernement fédéral donne à une jeune pousse de Toronto l'occasion de prouver que sa nouvelle technologie pourrait aider à protéger les communications canadiennes cryptées d'aujourd'hui contre le piratage par des ordinateurs quantiques.