Wanted Technologies réduit sa perte au 2e trimestre

Le fournisseur de produits de veille stratégique Wanted Technologies a vu sa perte nette diminuer de 8,4 % au deuxième trimestre.

Pour le trimestre terminé le 31 décembre, la société basée à Québec a fait état d’une perte nette de 94 121 dollars (0,4 cent par action), elle qui était de 102 807 dollars (0,4 cent par action) à la période correspondante un an plus tôt.

Les revenus ont totalisé 1,382 million de dollars, par rapport à 1,379 million de dollars au trimestre correspondant de l’exercice précédent, ce qui constitue une hausse de 0,3 %.

« Les gains enregistrés démontrent que nos nouveaux produits gagnent du terrain parmi les clients du marché de l’emploi à l’échelle internationale », a affirmé le président et chef de la direction de Wanted, Bruce Murray, dans un communiqué. « Les investissements effectués au cours de la dernière année pour créer une nouvelle gamme de produits et services de veille stratégique pour le marché de l’emploi portent fruit », ajoute-t-il.

En 2011, Wanted a lancé une nouvelle plateforme conçue pour fournir aux ressources dédiées au recrutement corporatif de l’information en temps réel sur l’offre et la demande de candidats. L’entreprise dit compter sur des clients d’envergure comme General Electric, Johnson & Johnson, Microsoft, Starbucks et McKesson.

La société soutient que sa décision de diversifier sa base de clients au-delà du marché des Médias a permis de remplacer certains des revenus récurrents perdus. « Les gains sont venus des secteurs Corporatifs, du Recrutement et des Gouvernements, établissant ainsi une base de revenus récurrents plus stable », soutient Wanted.

Les trois secteurs représentaient, à la fin du deuxième trimestre de l’exercice 2012, approximativement 51 % de la base totale de revenus récurrents comparativement à 45 % une année plus tôt.

Pour consulter l’édition numérique du magazine de décembre 2011/janvier 2012 de Direction informatique, Cliquez ici.

Denis Lalonde
Denis Lalondehttp://www.directioninformatique.com
Denis Lalonde est rédacteur en chef chez Direction informatique, développant des contenus et services uniques pour les spécialistes des technologies de l’information en entreprise à travers la province de Québec, tant à l’imprimé que sur le Web. Il s’est joint à IT World Canada, l’éditeur de Direction informatique, après avoir travaillé plus de cinq ans chez Médias Transcontinental pour les publications LesAffaires.com et le Journal Les Affaires. Journaliste accompli à l’aise sur toutes les plateformes médiatiques, Denis a également travaillé au Journal de Montréal, au portail Internet Canoë et au Réseau de l’information (RDI). Twitter: DenisLalonde

Articles connexes

Un nouveau rapport révèle les dernières tendances du travail hybride pour les services informatiques et leurs dirigeants 

Info-Tech Research Group a publié un nouveau rapport mettant en évidence les dernières recherches de l'industrie à l’attention des services de technologie de l'information (TI) et leurs dirigeants gérant des organisations hybrides.  

Québec veut plus de numérique en éducation

Un montant de 10,6 millions de dollars sera utilisé sur deux ans par le gouvernement du Québec pour intégrer plus d'outils numériques de gestion et de prise de décisions au ministère de l’Éducation et au réseau scolaire.

Hashtag Tendances, 3 mars 2022 — Effets boule de neige du conflit en Europe; et plus

Hashtag Tendances, 2 mars 2022 — Enjeux d’externalisation; restrictions technologiques; des pirates informatiques choisissent leur camp; et plus.

Enjeux d’externalisation avec la situation en Europe

Le conflit en Europe perturbe l’accès à des ressources humaines en technologies de l'information et en ingénierie.

Cybersécurité : des agences fédérales sont à découvert, selon un comité parlementaire

Des organisations fédérales ne sont pas encore conformes au cadre fédéral de cybersécurité, ce qui expose des informations de l’État fédéral à un « risque important », selon un comité spécial de parlementaires.

Emplois en vedette

Les offres d'emplois proviennent directement des employeurs actifs. Les détails de certaines offres peuvent être soit en français, en anglais ou bilinguqes.