Le CEFRIO dévoile son analyse des tendances d’utilisation du numérique chez cinq générations différentes d’internautes. Voici le portrait détaillé des habitudes d’utilisation des technologies de l’information et des communications de la génération des jeunes boumeurs (45 à 54 ans).
En 2013, les membres de ce groupe d’âge ont été actifs sur Internet en moyenne durant un peu plus de dix-huit heures par semaine, ce qui correspondait à une hausse de trois heures par rapport à 2012. Plus de quatre adultes de ce groupe sur cinq utilisaient Internet une fois par semaine et plus, soit une proportion proche de la moyenne.
Comme chez les générations Y et X, la proportion des jeunes boumeurs qui détenaient des téléphones intelligents en 2013 était plus élevée que la proportion observée chez l’ensemble des Québécois (51 % contre 44 %). En 2013, le taux d’adoption des téléphones intelligents et des tablettes numériques par ce groupe était en croissance par rapport à 2012.
La génération des jeunes boumeurs venait au troisième rang, derrière les générations Y et X, en matière de possession en 2013 d’au moins un ordinateur à la maison. À l’aide de ces outils, 28 % des adultes de ce groupe avaient fait au moins un achat en ligne durant le mois précédent l’enquête, par rapport à une moyenne de 27,8 %. Cependant, leur montant moyen d’achats au cours d’un mois type a été plus élevé que ceux des générations Y et X.
Les internautes de cette génération ont utilisé les médias sociaux dans des proportions moins grandes que la moyenne québécoise, mais tout de même plus élevées que celles retrouvées chez les générations qui les précèdent. Les seules activités de divertissement sur Internet pour lesquelles cette génération surpasse la moyenne sont le téléversement de photos en ligne et l’écoute de la radio sur Internet.
Direction informatique proposera au cours des prochains jours une synthèse des fiches « générations numériques » produites pour chaque génération par l’organisme de transfert et de liaison CEFRIO, à partir des portraits tirés de son enquête NETendances 2013.
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